Le gendre :
Beau-père, mon beau-père,
Je viens me plaindre à vous (bis par l'assemblée)
Le beau-père :
De quoi vous plaignez-vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
De quoi vous plaignez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre :
Oui, mais que faut-il faire,
Quand nous sommes entre nous ? (bis par l'assemblée)
Le beau-père :
Que ne la p'lotez-vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
Que ne la p'lotez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre :
Oui, mais, si je la p'lote,
Ses seins deviendront mous ! (bis par l'assemblée)
Le beau-père :
Que ne la branlez-vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
Que ne la branlez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre :
Oui, mais, si je la branle,
On se foutra de nous ! (bis par l'assemblée)
Le beau-père :
Que ne la baisez-vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
Que ne la baisez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre :
Oui, mais si je la baise,
Des gosses elle me fout ! (bis par l'assemblée)
Le beau-père :
Que n'la gougnotez-vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
Que n'la gougnotez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre :
Oui, mais, si j'la gougnote,
Ca m'laissera comme un goût ! (bis par l'assemblée)
Le beau-père :
Que ne l'enculez-vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
Que ne l'enculez-vous,
Ma fille est toute à vous !
Le gendre :
Oui, mais, si je l'encule,
Elle chiera partout ! (bis par l'assemblée)
Le beau-père :
C'est vous, qui me faites chier !
Jean-Gilles, mon gendre,
C'est vous, qui me faites chier !
Aux chiott's, et branlez-vous !
|
