Près d'un couvent d'jeunes filles,
Le cordonnier Pamphile,
Etablit domicile,
Et bien, il s'en trouva.
Ah ha, ah ha, et bien, il s'en trouva.
Ah ha, ah ha, et bien, il s'en trouva.
Car la gent monastique,
Jetait dans sa boutique,
Les trognons et les chiques,
Restes de ses repas.
Ah ha, ah ha, restes de ses repas.
Ah ha, ah ha, restes de ses repas.
Un jour la soeur Javotte,
S'asticotait la motte,
Avec une carotte,
Grosse comme le bras.
Ah ha, ah ha, grosse comme le bras.
Ah ha, ah ha, grosse comme le bras.
Elle s'astique la tétasse,
Se mouille la conasse,
Mais quel qu'effort qu'elle fasse,
Le foutre ne vient pas.
Ah ha, ah ha, le foutre ne vient pas.
Ah ha, ah ha, le foutre ne vient pas.
Mais comme tout a un terme,
Enfin jaillit le sperme,
Le con s'ouvre et se ferme,
Et elle déchargea.
Ah ha, ah ha, et elle déchargea.
Ah ha, ah ha, et elle déchargea.
La soeur toute contente,
Retira de sa fente,
La carotte écumante,
Et loin elle la jeta.
Ah ha, ah ha, et loin elle la jeta.
Ah ha, ah ha, et loin elle la jeta.
Par un hasard comique,
La carotte impudique,
Tomba dans la boutique,
Du cordonnier d'en bas.
Ah ha, ah ha, du cordonnier d'en bas.
Ah ha, ah ha, du cordonnier d'en bas.
Il dit : "Ah! quelle chance,
C'est aujourd'hui dimanche,
Elle est à la sauce blanche"
Et cuipp' il l'avala.
Ah ha, ah ha, et cuipp' il l'avala.
Ah ha, ah ha, et cuipp' il l'avala.
"Crénom de Dieu Titine,
Cette carotte sent l'urine,
Elle a servi de pine".
Puis il la dégueula.
Ah ha, ah ha, puis il la dégueula.
Ah ha, ah ha, puis il la dégueula.
|