Dernière modif: 28 Mars 2020
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Titre de la chanson : La complainte de la Marie-Salope


Marie était si salope, si salope, si salope,
Que pour se faire enfiler,
Que pour se faire enculer,
Elle faisait du porte à porte, porte à porte, porte à porte,
Pour frais de r'présentation,
El-le palpait vos couillons.

Aussitôt la porte ouverte,
Cette pute sans vergogne,
Attrapait par la braguette
Votre verge à pleine pogne.
Et d'une main fort experte,
Arrachait tous les boutons,
En se chatouillant le con.
Elle bavait rouge et lubrique,
En vous tiraillant la trique,
Et s'introduisait l'engin,
Jusque z'au fond du vagin.

Mais cette Marie-salope, si salope, si salope,
Avait de la distinction,
Avait de l'éducation.
Et son cul était si propre, tait si propre, tait si propre,
Qu'on lui prêtait ses couillons,
Sans la moindre hésitation.

Elle savait si bien y faire,
Son cul battant la cadence,
Que tous les baiseurs de France
Raffolaient de son derrière.
Et bientôt sa clientèle,
A son con restait fidèle,
Accourait foutre chez elle.
Arrachant leur pantalon,
Par ses appâts affolés,
Les plus bandeurs s'enculaient
Jusque dessus son balcon.

La pauvre Marie-salope, si salope, si salope,
A force de baisouiller
Eut la matrice entamer.
Son vagin comme une porte, une porte, une porte,
Laissait entrer sans façon,
Trois ver-ges et six couillons.

Comme elle voulait toujours plaire,
Elle alla chez le médecin,
Qui recousit ses arrières
Et son malheureux vagin.
Mais le morticole féroce,
L'ayant refaite pucelle,
Re-défonça la donzelle.
Ce fut une chose atroce,
Il l'avait rendu si vierge,
Qu'ayant enfilé sa verge,
Il dut rester dans la belle.

Si bien que Marie-salope, si salope, si salope,
Qui voulait toujours baiser,
Qui aimait tant faire bander.
D'épuisement tomba morte, tomba morte, tomba morte,
Ayant gardé dans le con,
Trop longtemps un gros couillon.

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